Amanite tue-mouche
Amanita muscaria de la famille des amanitacées
Avec des risques graves pour la santé, l’amanite tue-mouche n’est pas mortelle mais bien toxique
Champignon toxique
Chapeau :
Entre 6 et 20 cm, rouge vif au départ et devient plus orangée en vieillissant, d’abord globuleux, devenant convexe à presque plat,. Il perd parfois la totalité de ses verrues
Pied :
Très élancé entre 12 et 30cm de couleur blanche, crème, il est pelucheux. Concentriques à la base en un bulbe. L’anneau est ample, déchiqueté ou dentelé, persistant, blanc ou jaunâtre pâle
Chair :
Ferme, blanche mais jaune orangé en surface
Habitat :
Se situe dans les lisières et bois de feuillus et de conifères : Bouleaux, épicéa, pins… plus rarement sur les chemins d’anciennes forêts
Amanite tue-mouche, pittoresque mais extrêmement toxique
Avec son chapeau rouge vif à/ou orangé parsemé de petits pois blancs, la chair de ce un magnifique champignon ne dégage pratiquement aucune d’odeur et peut atteindre 20 cm de diamètre, son pied est orné d’un anneau large, blanc. Appelé aussi fausse oronge, la toxicité de l’amanite tue mouches (Amanita muscaria) peut provoquer de graves troubles gastro-intestinaux, neurologiques et s’apparente à une drogue, hallucinogènes et délires hilarants. Ce champignon pousse dans les forêts de feuillus ou sous des conifères : bouleaux, pins, épicéa, etc.
Il faut faire attention, si l’Amanite tue-mouche (Amanita muscaria) a perdu ses pois blancs elle peut-être confindu avec l’amanite des Césars ou Oronge, qui, lui, est un bon champignon comestible.
Amanite tue-mouche (Amanita muscaria) se trouve principalement sur les sols acides, sous les feuillus (particulièrement les bouleaux…), et sous les conifères (épicéas, pins…) ou en lisière de ces bois.
A ne pas confondre avec l’amanite des Césars
De la fin de l’été jusqu’à la fin de l’automne